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Les leçons de la crise de 2008


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De cette crise, nombre de leçons ont été tirées.

Il fallut déjà un meilleur systeme de notation au niveau des agences. Les trois dernière crises auraient pu être évitées (la crise asiatique de 1997, les scandales financiers début 2000, la crise des subprimes ) mais les agences de notation n'ont pas réagit.

Leur but est d'améliorer la transparence de l'information financière. Mais elles auraient pu aussi reconnaitre leur torts et donc laisser leur image intacte. Le problème est qu'une fois la crise lancée, ces agences abaisses très rapidement des nites qu'elles auraient dû abaisser longtemps avant et ne fit qu'encourager la volatilité économique.

Cetes ces crises sont difficiles à prévoir mais il y a certains points que l'on pourrait améliorer chez ces agences de notation.


Il faudra tout d'abord commencer par adapter le système de notation par rapport à la situation économique. C'est pour eviter aux potentiels acquéreurs ou investisseurs dans une entreprise de chercher par eux-mêmes les informations dont ils ont besoin pour savoir si leur investissement est rentable ou pas. Le problème avec cette notation est que c'est une facilitation de la compréhension du risque de solvabilité. Mais cette simplification implique alors la supression de certaines informations qui sont pourtant utile pour ces acqéreurs et investisseurs. De ce fait, le notation n'est pas un indicateur de risque. De plus, le systeme de notation n'est pas très précis, il s'agit de lettres qui varient en fonction des agences, en effet pour Moody's sur le long terme il y a une note qui est A3 et A- pour Standard& Poor’s.


Pour valoriser d'une meilleure manière des produits financiers, les agences de notation pourraient s'équiper des outils et du personnel qui correspond. Il faut, par exemple, suivre de près les remplacements des analystes, trop élevé pour leur permettre d'avoir de l’expérience indispensable à l’évaluation des risques sur des instruments financiers. Ralentir un peu cette rotation des jeunes professionnels des agences de notation relève clairement des choix décentralisés de ces agences sur les salaires offerts.

Les agences de notation doivent ajouter dans leurs évaluations les problèmes de liquidité et les risques opérationnels, à proximité des risques de crédit. La crise des subprimes montre la fine connexion entre risques de crédit et risques de liquidité, et souligne le fait que cerner ces facteurs est assez compliqué et très important.

La crise des subprimes permit d'indiquer qu’il est probablement encore plus difficile de représenter et prévoir les risques de liquidité. Malgré tout, les agences de notation et les banques doivent s'occupper de cette tache.

Les agences sont aussi dans l'obligation reconsidérer leurs échelles de notations. Plusieurs mesures peuvent être prises en considération sans pour autant aboutir à un système de notes trop complexe à déchiffrer sinon leurs indications sur la qualité ne servirait point au acheteurs qui ne serait toujours pas renseignés. Il serait préférable qu’elles ajoutent aux notes un intervalle de confiance et qu’elles utilisent une échelle de notations différente lorsqu’il s’agit de produits structurés.


Pour une meilleure efficacité, il faudrait aussi atténuer les conflits d'intérêts pour ce qui concerne la notation. En premier lieu, qui doit payer les notation ?

En général, ce sont les sociétés qui font appel à ces agences de notation qui doiveent payer. Le probleme des relations entre agent et client est que l'agence peut retarder ou éviter même une dégradation de la note de ce dernier.

Plusieurs propositions ont été annoncées pour sortir d’un tel conflit d’intérêts, éventuellement desastreux à la transparence et à l’évaluation des risques. La première de ces propositions consiste à faire payer la notation par les investisseurs, et non plus par les émetteurs. Elle rencontre le caractère de bien public de la notation. En effet, chaque investisseur voudrait être informé par la note sans en payer le prix de cette notation. Une autre solution reposerait sur le financement des agences de notation sur fonds publics, mais elle aboutirait sur des formules de nationalisation de fait ou de droit.

Une fois avoir choisi qui reglait le prix de cette notation, il faut savoir comment tarifer cette évalutation ! La forme actuelle de tarification encourage les agences à noter en masse, puisque leurs recettes sont proportionnelles au montant des émissions notées.

Mais la question se pose, la quantité de gain influe-t-elle sur la qualité de l'évalutation faite par les agences dédiées. Il peut aussi il y avoir des conflits d'interêts au sein de l'agence elle même. Alors comment réduire d’éventuels conflits d’intérêts à l’intérieur des agences ? En effet certaines agences demande à un seul et même employé de faire, à la fois la notation, et aussi les activités de conseil. Hors il est préférable de créer un séparation pour favoriser de l'emploi.

Après cela, il faut rééquilibrer le marché de la notation.

Les 3 principales agences représentent 90 % de la notation mondiale. Malgré quelques entreprises qui tentent de s'introduire dans le domaine comme l'agence américaine A.M Best ou l'agence canadienne DBRS (Dominion Bond Rating Services), l'oligopole reste le même car les barrières pour rentrer sur ce type de marché sont très fortes. En effet, les nouvelles agennces ont besoin de faire leur réputation, hors les grandes agences ont déjà une réputation qui leur est plutot favorable ce qui fait moins de clients pour ces nouvelles agences.


Il faut bien sûr améliorer la transparence des produis financier pour les acheteurs car ils n'ont pas forcément la perception dur risque, ce qui a donc conduit à la crise des supbprimes. De la faute peut-être de certains prescripteur quin'ont pas fourni assez de renseignements. Peut-être aussi de la faute de certains investisseurs qui ne lisaient pasles closes d'achat et toutes les autres recommandations. Dans ce cas, c'est un changement des moralités qui doit être opéré, hors, c'est à la charge de l'individu et l'Etat ne peux contrôler chaque vendeur et chaque acheteur !


Pour ce qui est du systèrme de gouvernement Européen, il est préférable d'avoir une meilleure concertation. C'est à dire de changer le G7 en G13 ou G15 pour permettre aux pays en voie de dévellopement comme Chine, Inde, Brésil et Indonésie d'intégrer le conseil pour un meilleur choix face aux problèmes comme face à la crise des Subprimes.

De plus, nous avons pu constater la multiplication des régulateurs nationaux : le CESR pour les régulateurs financiers, le CEBS pour les banques, le CEIOPS pour les assurances. Ces plusieurs régulateurs permetent une meilleur coordination des trois pilliers de l'économie en Europe.


De cette crise ont été tirées de nombreuses leçons et de ce fait une amélioration de la prévention contre la crise et une meilleure (?) gestion des crises à venir.





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